jeudi 1 décembre 2016

Goddesses among themselves











Goddesses among themselves


In the early-1960s, Brigitte Bardot was one of the most famous – and thus most photographed – women in the world. And what better car for the French silver-screen diva than ‘La Déesse’, the goddess among automobiles? 
It’s photos like this that characterise the mystery and seduction of the French femme fatale – Brigitte Bardot lolling on the passenger seat of a Citroën DS with her hair unkempt and a slowly burning cigarette between her fingers. There’s only one word for it: irresistible. 



Photo: Roger-Viollet/REX/Shutterstock

6 commentaires:

  1. Comment peut-on faire de la publicité à c'truc mal peigné ?

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  2. Bardot sacrifiait à cette sorte de charlotte en cheveux qui était de mode.

    Mais l'éclat du sourire n'est nullement altéré, ni ce quelque chose en coin qui semble nous dire : "Cause toujours mon lapin !"

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    1. Quand j'pense qu'elle a l'âge de Donald Duck et de la ligne Maginot ...

      Et puis faut dire qu'ce truc mal peigné a des accointances FN. Faudrait ptet mieux la placer dans une institution, des fois qu'il lui prenne l'envie d'aller voter pour les présidentielles.

      Sinon, vous avez raison pour le sourire : le fait est qu'elle cause toujours en lapin. La preuve :

      http://www.lemondejuif.info/wp-content/uploads/2014/09/BARDOT.jpg

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    2. Mais c'est une idée neuve ça ! Et mettre en "institution" tous ceux qui voteraient comme elle ?

      Dans une sorte de grande cage à lapins.

      Cela ne devrait pas faire loin de 6 millions...



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    3. Non mon brave, ça ferait pas 6 millions ! Les pauvres n'atteignent généralement pas l'âge de la vieille en ch'veux. On calcule très exactement l'âge de leur décès de manière à n'avoir pas à leur verser leur pension retraite. En règle générale, les abimés de la vie tirent leur révérence entre 63 et 67 ans. Plus addictifs que d'autres au tabac, à l'alcool, aux contrariétés; plus maltraités que d'autres par leurs créditeurs (banques, sociétés de crédits, bailleurs), plus défavorisés au point que certains sont renommés "travailleurs pauvres", plus malnutris car leur budget leur interdit les 5 fruits et légumes par jour, plus mal aimés parce qu'une accumulation de pauvreté, c'est aussi une accumulation de discordes familiales, ils partent d'un cancer, d'un diabète, d'un avc. Ils partent de misère, de chagrin, d'épuisement, de rêves avortés. Ceux qui survivent sont placés dans des maisons de retraite pour pauvres où parfois on les bat, les humilie, les oublie, les sanctionne et où, comme dit Brel, plus personne n'écoute "c'que leurs pauv'mains racontent".

      Moi, j'méprise pas les 6 millions de français comme vous le faites. Et je ne crois pas que Victor Hugo les mépriserait non plus. Moi j'suis contre l'idée de compartimenter les gens dans des cages, dans des trains, dans des camps, dans des ghettos, sauf les Efhaine et les connasses en burka (cela dit, pour ces dernières, elles se sont déjà encagées). Et puis moi, j'aime plus les bébés d'hommes que les bébés yorkshire ... ça m'paraît plus normal d'aimer ses frères humains. Au fait, elle avait pas un fils la mère Bardot ?

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  3. En réponse à Anonyme:
    J'avais pensé à l'identique pour "l'institution"...

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