dimanche 13 mai 2018

Le dimanche etc...











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les G.A.M.B.
Grace, Audrey, Marilyn et Brigitte




Grace


Grace Kelly, 1954


Grace Kelly, 1955. Photos by Howell Conant 



                           
Grace Kelly by Philippe Halsman, 1954

Grace Kelly by Jean Howard for Vogue magazine, 1954






Audrey


Audrey Hepburn with Dean Martin at Paramount Studios, 1953









Audrey Hepburn in Breakfast At Tiffany’s (1961)











Marilyn






Brigitte 






Méribel, 1966














5 commentaires:

  1. Les groupes de petits rats nous rappellent à Degas. J'aime beaucoup.
    Je n'ai jamais réfléchi au rapport entre la photographie et la peinture. J'aimerais bien trouver un ouvrage qui en traite, juste pour m'en faire une idée. En y réfléchissant, je m'aperçois que je n'ai aucun élément de culture qui me permette de relier les deux. C'est bien embêtant.

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    1. Ps : en regardant attentivement les photos des petits rats, je vois bien tout de même qu'il y a une sacrée technique. Tout comme dans la peinture on peut jouer sur la composition (groupe de personnages, par ex.), sur les clairs-obscurs aussi.

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    2. @Aukazou

      Merci. En effet nous avions trouvé les photos de rats très jolies et souhaitions les partager.

      L'ouvrage de référence semble être " Peinture et photographie. Les enjeux d’une rencontre" mais nous n'en savons rien de plus. Une recherche appropriée sur l'internet apporterait sans doute beaucoup plus que ce titre. (il nous semble avoir lu, souvent, que ce sont les "peintres qui ont inventé la photographie" ou quelque chose du genre)

      Nous vous remercions de votre participation fidèle toujours si pertinente.

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    3. C'est une très bonne idée, merci pour la référence.

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  2. En sus de grands classiques auxquels nous sommes accoutumés par bonheur grâce à vous, je relève deux très beaux coups, fort bien agencés en tir tendu dans cette salve, mon Général, pardon, cher Nuage !

    D'abord, les très émouvants quartiers de lune - à la fenêtre- de la dame en bas et talons hauts couleur violine. Ce qui démontre que le violine peut tout à fait échapper à cette malédiction de couleur uniquement vouée aux pompes funèbres.

    Par suite, se glissant en dessous de la dite haut-talonnée, il y a cette jeune personne au juste-au corps si merveilleusement... ajusté qu'on croirait la chose et le mot inventés pour elle.
    Jeune débutante,oui, dont il est difficile d'imaginer que le regard un peu étonné, sinon interloqué, avec une petite pointe de gourmandise (qui rappelle celui d'Adjani également débutante), puisse simplement signaler l'irruption dans la pièce du panda présidentiel flanqué de ses gorilles.

    A l'évidence il doit s'agir d'une autre espèce poilue.

    Au reste, les navigateurs avisés auront constaté l'absence du moindre panda dans cette livraison dominicale, particulièrement festive et même festivante comme eût peut-être dit le très regretté Philippe Muray ! Un grand, très grand merci !

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