Publié le 9 août 2015. Modifié le 11 août 2015. Ajout du commentaire de J.
Anonyme9 août 2015 15:32
On jurerait Bardot à 17 ans.
On jurerait une Deuch d'avant les bobos, avec son décapotable.
On jurerait une robe pour vraie femme, ensoleillée, des années 50-60.
On jurerait les jambes de l'éclaboussante beauté.
On jurerait les coings, le raisin, les tomates.
Et la pomme qu'elle tient, qu'elle offre,
qu'elle n'a plus la force de partager, de croquer.
Dernier regard. Les sabots d'ébène.
Cette certitude, dans la lumière de l'été finissant,
d'avoir croisé on ne sait quelle fragment d'éternité.
J.
On jurerait une Deuch d'avant les bobos, avec son décapotable.
On jurerait une robe pour vraie femme, ensoleillée, des années 50-60.
On jurerait les jambes de l'éclaboussante beauté.
On jurerait les coings, le raisin, les tomates.
Et la pomme qu'elle tient, qu'elle offre,
qu'elle n'a plus la force de partager, de croquer.
Dernier regard. Les sabots d'ébène.
Cette certitude, dans la lumière de l'été finissant,
d'avoir croisé on ne sait quelle fragment d'éternité.
J.
On jurerait Bardot à 17 ans.
RépondreSupprimerOn jurerait une Deuch d'avant les bobos, avec son décapotable.
On jurerait une robe pour vraie femme, ensoleillée, des années 50-60.
On jurerait les jambes de l'éclaboussante beauté.
On jurerait les coings, le raisin, les tomates.
Et la pomme qu'elle tient, qu'elle offre,
qu'elle n'a plus la force de partager, de croquer.
Dernier regard. Les sabots d'ébène.
Cette certitude, dans la lumière de l'été finissant,
d'avoir croisé on ne sait quelle fragment d'éternité.
J.