Le 16 septembre, 1968
Georgette Magritte
Portrait de Stephy Langui
L'état de veille, 1958
La voix de l'espace, 1928
La belle captive, 1946.
La bonne aventure, 1938
Le double secret, 1926
Le Miroir universel, 1928-1929
La Pensée visible, 1961
Le Banquet, 1957
La Vengeance, 1939
L'assassin menacé
Les objets familiers
Titre non trouvé. Pas par Magritte s'entend, par nous...
Le Principe de plaisir (Portrait of Edward James) , 1937
La femme chef, 1927
Souvenir de voyage, 1926
Métaphore, 1923
La victoire, 1939
Le visage du génie, 1926
Les enfants trouvés, 1968
L' Art de la conversation, 1963
Magritte. Photo colorisée de Duane Michals
René Gislain Magritte est né le 21 novembre 1898 à Lessines en Belgique dans une famille modeste. Son enfance sera marquée par le suicide de sa mère. A l'âge de quinze ans, il rencontre Georgette Berger qu'il épousera en 1922. Pendant toute sa vie, elle demeurera son unique modèle.
En 1915 Magritte s'installe à Bruxelles et réalise ses premières oeuvres de facture impressionniste. Il étudie à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles de 1916 à 1918. Après une première période influencé par le cubisme, il s'oriente vers le surréalisme. Il travaille comme graphiste dans une usine de papiers peints.
Dès lors, son art tentera de démontrer que l'on n'entrevoit de la réalité que son mystère, si l'on sort de notre habituelle et routinière logique. Ses œuvres jouent souvent sur le décalage entre un objet et sa représentation.
De 1927 à 1930 il séjourne dans la banlieue parisienne et entre en contact avec le groupe. A l'atmosphère insolite de certaines réalisations surréalistes, Magritte ajoute toute une gamme d'objets familiers.
De retour en Belgique, il devient le chef de file des surréalistes belges. Entre 1951 et 1953, il décore d'une immense fresque le casino de Knokke-le-Zoute. Le reste de sa vie se passe en expositions belges et internationales...
Magritte meurt à Bruxelles le 15 août 1967, âgé de 69 ans, après avoir peint plus de 1000 toiles, ainsi que des gouaches et des collages. Son épouse léguera les oeuvres de son mari à diverses collections publiques belges.
"Le Banquet 1957" m'est une griserie.
RépondreSupprimerOui. Ou quand Magritte "revisite" Platon.
SupprimerPlus sérieusement -quoique!- Magritte prête aux titres de ses toiles un intérêt majeur. Il les conçoit comme des éléments constitutifs d’un ensemble titre/peinture dont le lecteur/observateur/regardeur constate le caractère le plus souvent énigmatique. Titres surprises, ils composent avec la peinture un objet poétique inédit.
Anagramme de "génial Magritte" : "Maigret antigel".
RépondreSupprimerEncore un belge, une fois !
Bien vu ! La quantité de belges géniaux est impressionnante. Il nous faudrait à ce sujet retrouver une sorte de liste que nous avions construite il y a de cela bien des années, sur un ancien blog...
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