Tu me dis toujours
Que tu te meurs pour moi :
Meurs et nous verrons
Et je te donnerai raison.
Que tu te meurs pour moi :
Meurs et nous verrons
Et je te donnerai raison.
Pierre Louÿs
in La Femme et le pantin
1898.
Poésie française, une très folle et très subjective tentative d'anthologie, -rien que ça!, billets d'humeur,
Mémoire de la SHOAH.
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Comme la muleta agitée au mufle du fauve, la jupe à volants avait ceci d'épatant qu'elle stimulait la très légitime curiosité des 13-14...
RépondreSupprimerPremier droit de l'adolescent, en effet : ne pas mourir idiot.
La demoiselle en cheveux et volants sur la photo a beaucoup fait pour la reconnaissance de ce droit.
Qu'elle reçoive nos gratitudes.