Boite de nuit, 1927
Les mouettes, 1930
Symphonie bleue, 1920-1929
Fleurs, 1946
L'écuyère-
Cérès,
Venise- princesse russe
Femmes et chiens
L'habit de danseuse, 1910
Place Vendôme
Les Fleurs du Mal, 1967
La Chute des Anges, 1922
Trois femmes nues allongées, 1925
Jeune femme au chien, 1925
Portrait de femme au foulard
La marquise C., 1918
La prière du pape
La femme blonde (illustration pour La Princesse de Babylone, Voltaire) - un couple et un chien au verso, 1923
Femme avec son chien sur la plage, 1937
La quiétude, 1916-1918
The present work is the first known preparatory composition for the celebrated oil of the same
title, La Quiétude. Executed 1916-18, La Quiétude (Couple nu) features two elongated interlocking figures framed beneath two doves. The saturated deep blues and fervent reds which dominate the composition are reminiscent of the Fauvist masterpiece by Henri Matisse from 1910 entitled La Danse. The strong color contrasts and mannerist tendency toward amore elegant and elongated forms were inspired not only by Matisse, but also by van Dongen's sojourn in Egypt in March 1913. During this trip the artist was deeply moved by the severe light and color contrasts of the Egyptian landscape, which in turn motivated an inevitable evolution in his technique.
Est-ce moi qui ai l'esprit mal placé ou "la prière du Pape" représente t'elle bien un phallus en érection ?
RépondreSupprimerTout bien considéré, je me demande s'il ne s'agit pas là d'un clin d'oeil à la Vierge de Vinci et à toutes ces âneries freudiennes sur le symbole caché dans le pli du vêtement ...
Vous n'avez pas l'esprit mal tourné ni mal placé chère Aukazou. Cette toile nous surprend comme vous et voilà la raison pour laquelle nous la publions..Pour le reste, nos connaissances sont bien trop fragiles pour nous prononcer sur le rapport avec L.d.V.
SupprimerC'est quoi cet animal qui se tient près du chien dans " La quiétude" ? On dirait une créature à la Harry Potter, mi rat, mi cochon. Van Dongen lui-même ? Sinon j'aime bien le rappel au bleu saturé de Matisse dans "La danse" et cet ajout de rouge qu'un abruti qualifierait de "tupperwares dépareillés".
RépondreSupprimerVous voyez un rat, un cochon. Nous une sorte de singe chinois. Il siège bien à côté d'un chien très égyptien non ?
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