Nous ne comprenons pas pourquoi le "lardon en barquette" augmente moins que le "salaire de l'Élysée" alors qu'il s'agit du même produit.
Poésie française, une très folle et très subjective tentative d'anthologie, -rien que ça!, billets d'humeur,
Mémoire de la SHOAH.
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C'est que les patates sont devenues hors de prix, mon cher !
RépondreSupprimerMême s'il était trop jeune pour avoir mis la main à sa conception et à sa mise en place, Macron, en tant que banquier, ministre, puis Président fut et reste un dévot inconditionnel de l'euro.
RépondreSupprimerIl partage ainsi la responsabilité d'une monnaie unique trop forte pour notre économie, ayant généré des destructions industrielles massives, une détresse sociale considérable et une grave dérive des prix sur nombre de produits de nécessité.
Une monnaie pour les riches. Qui d'ailleurs opinent et disent "Danke" ! "Noch" ! "Noch" !
Ce n'est pas l'euro qui a généré la politique de désindustrialisation de la France, mais des choix économiques sectoriels. Le tertiaire, à l'époque, était en pleine ascension, on lui a donné toute la place. Aujourd'hui c'est aux NTIC et à la robotisation que nous devons la majeure partie de la destruction des emplois. L'euro c'est encore un autre problème.
SupprimerPlus 101 % le litre de tournesol ?
RépondreSupprimerEt le haddock ?
M'avait échappé que le camembert a fait du surplace.
RépondreSupprimerDommage. Je l'aime bien En marchant.