A en croire cette publicité vue dans la vitrine d’une pharmacie pendant la coupe de football, les héros du ballon rond étaient tout juste tolérés malgré les efforts incessants de la presse pour éviter qu’on les oublie.
L’emploi du verbe « soutenir », ou « encourager » à la place de l'anglais [to] support (mal) accommodé à la sauce "Frenchy" aurait évité l’ambiguïté, et même le contresens.
Franchement... insupportable.
RépondreSupprimerIl est vrai que l’État ne fait même pas respecter la loi Toubon dans ses propres services, dans les entreprises nationales et les collectivités dont il a la tutelle. Voir les dégueulis de (mauvais) anglais à la RATP, à la SNCF, à la Mairie de Paris et j'en passe!
Évidemment cela n'empêche nullement Narcisse 1er et sa ministre de la Culture, l’éditrice millionnaire, de nous pondre régulièrement de belles phrases sur la défense de la langue.
Et il nous faut -hélas- les supporter.