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Post-scriptum : ce n’est pas un hasard si l’anniversaire des 100 ans de Boris
Vian, le 10 mars 2020, tombe en ouverture du printemps des poètes.
Car celui qui ne voulait pas crever Sans qu’on ait inventé / Les roses éternelles /
La journée de deux heures / La mer à la montagne / La montagne à la mer / La
fin de la douleur, celui qui savait que La vie, c’est comme une dent / D’abord on
y a pas pensé / On s’est contenté de mâcher / Et puis ça se gâte soudain / Ça vous
fait mal, et on y tient / Et on la soigne et les soucis / Et pour qu’on soit vraiment
guéri / Il faut vous l’arracher, la vie. Celui-là qui écrivait comme quatre, chantait
du soir au matin et jouait comme personne, l’enfant de Ville-d’Avray, le joyeux
condamné de la Cité Véron, ce singulier et magnifique
poète de 39 ans
savait ce
qu’il en était de vivre.
*Toute ressemblance avec
un président français
ne me semble pas fortuite.
un président français
ne me semble pas fortuite.
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